François HADAYA

J'étais très amis avec François c'est moi qui a été le chercher au Canada lorsque qu'il était tres malade et mourant du à des symptômes de ça maladie très triste de voir que c'est par internet que j'apprends sont décès pouvez me contacter au 06 98 33 85 14 merci

J'apprends à l'instant qu'il n'est plus des nôtres... et je ne peux pas y croire. Je ne sais même pas ce qui s'est passé... On s'est rencontré en 2015 avec François, pendant qu'il était à Université Terre du Ciel à Bruailles... On s'est fréquenté quelques mois, on ne se comprenait pas toujours très bien... mais on avait saint François d'Assise comme figure d'affection commune. Puis nos chemins se sont séparés, on s'est retrouvé quelques années plus tard sur Facebook. Malheureusement, nous n'avons jamais pu nous revoir... Aux premières minutes de ce 21 octobre 2023, j'apprends que tu es passé. J'ignore ce qui t'est arrivé, le choc est un peu dur malgré les années passées sans te voir. Mais je ne doute pas que tu es toujours Vivant sous une autre forme, ta forme Essentielle. Tu as fait du bien sur cette terre : le Ciel avait sans doute besoin de toi à présent. Adieu François. Ton frère, Fabrice

‘Je ne meurs pas, j’entre dans la vie’ … ce sont sur ces mots si simples et pourtant si vrais qui viennent de notre sainte préférée, Therese de l’enfant Jesus, que je voudrais te dire : a bientôt Arouille. Et ensemble nous partagerons ce que nous avons pu faire ici bas. C’est une journée de recueillement et de tristesse biensur, on est humain après tout. Dans le même temps… temps fini et infini a la fois, c’est un moment de joie intense. Joie de te savoir Vivant avec certitude, cette certitude que la foi mêlée a l’ espérance tenace donne… cette certitude que tu es vivant, et que d’un œil amusé et touché a la fois, tu es avec nous. Je t’aime mon frère de sang, je t’aime mon frère de coeur et cet Amour je sais … est éternel. A toi. Elie.

François, ta Présence était un don du ciel, par ta profonde foi en la Vie !

A toi mon ami, à toi mon frère d'âme. Nos chemins se sont croisés, il y a 11 ans à artisans de paix. Quelle rencontre, elle restera gravée à jamais en moi. J'ai beaucoup de souvenirs qui remontent, le fameux Tiramisu à la framboise coco que nous avions inventés. Ils avaient eu un grand succès auprès des stagiaires. Nous l'avions réalisé avec tout notre amour. Grâce à toi, j'ai pu me connecter au divin, retrouver mon chemin, affronter mes démons pour les transcender en lumière pure et délicate. Ta présence, ta joie, ta grâce, ton indéfectible lien avec le divin, ton cœur grand ouvert, ton écoute, ton amour et ta bienveillance, m'ont permis de grandir et de porter ceci aussi en moi. Moment gravé, nos chants "la cellule" ou j'ai pu te découvrir, te voir autrement que par ce corps qui nous permet d'être ici et vivre toutes ses expériences. J'ai pu voir ton essence même, ta lumière tellement rayonnante et puissante. Ses moment de grâce resterons et sont précieux. Merci à toi pour tout ce que tu as fait et ce que tu feras de là où tu seras. Une autre vie commence pour toi.. Je suis heureuse que tu aies pu voir ma fille et qu'elle te vois avant ton départ. Même si physiquement, tu n'es plus là, je sais que tu seras toujours là sous une autre forme. J'espère que là où tu es, tu es en paix. Mille et un merci pour qui tu es. Bien tendrement, une amie, une sœur d'âme.

Mon François, juste pour te dire que ta venue dans notre famille restera gravée à jamais.. Petit garçon timide et d’une gentillesse.. tes petits sms et tes appels me faisait tellement plaisir et allaient droit au coeur. Je ne t’oublierais jamais et tu resteras toujours mon frère de coeur. Vole mon ange.. Je t’embrasse tendrement mon François Angélina

Notre véritable héritage ” Le cosmos est rempli de joyaux précieux. Je veux vous en offrir une poignée ce matin. Chaque moment que tu vis est un joyau, qui resplendit et contient la Terre et le ciel, l’eau et les nuages. Il a besoin de toi pour respirer avec douceur pour que les miracles apparaissent. Soudain, tu entends les oiseaux chanter, les pins psalmodier, tu vois les fleurs s’épanouir, le ciel bleu, les nuages blancs, le sourire et le regard merveilleux de ton aimée. Toi, la personne la plus riche de la Terre, qui a mendié partout pour vivre, cesse d’être l’enfant pauvre. Reviens et réclame ton héritage. Nous devons profiter de notre bonheur et l’offrir à chacun. Apprécie cet instant même. Laisse se déverser le torrent du désespoir, et prends la vie à bras le corps.” François, rebaptisé FranSoi, je te dédie ce texte de maître Thich Nhat Hanh, fondateur du monastère bouddhiste du Village des Pruniers en Dordogne. FranSoi, tu es allé rejoindre ce grand maître, comme tant de belles âmes, connues ou peu connues, ici-bas. Peu importe, tu me dirais, car le principal, c’est de faire grandir l’Amour et la Joie dans son sillage. Je suis témoin, durant ton séjour dans cette réalité ici-bas, de ton parcours de vie, fait de bien de transformations et de rayonnements. Du haut de tes 16 ans (âge où je t’ai rencontré pour la première fois) jusqu’à aujourd’hui, tu as été un sacré témoin de la Vie, avec un grand V. La vie a fait que nous nous sommes côtoyés peu de temps en réalité, le temps où tu étais mon « beau-frère » jusqu’à mon divorce avec ton frère. Tu as concrétisé tes rêves de jeune homme, puis tu as rencontré bien des désillusions, des déceptions, des trahisons et la maladie en mode récidive. Nous nous sommes perdus de vue un moment, puis retrouvés grâce au lien du cœur. Tu as été le petit frère que je n’ai pas eu, et, désormais, le grand frère que je n’ai pas eu non plus, et tu me précèdes au Ciel. Ce lien fraternel existera à jamais, je le crois. Cher FranSoi, ton passage, ce 11 septembre, sonne pour moi comme un appel irrévocable à la transmutation de nos corps souffrants en corps de Lumière. Tu avais vraiment pris « la vie à bras le corps ». Quel courageux, quel audacieux, quel ingénieux tu es ! Quelle force, quelle foi et quel humour tu semais autour de toi, alors que tu étais pris dans bien des tempêtes et aujourd’hui, tu continues de les distiller dans nos cœurs ! Tu es parti, mon frère, discrètement et en simplicité, mais en nous laissant, un fort héritage de FOI, de clairvoyance, de beauté et d’amour en la Vie. Jusqu’au bout de cette vie ici, tu as été fidèle à ces mots que tu m’avais écrit en novembre 2021 : « Sans savoir le temps qu’il me reste, que ce soit par la guérison ou son contraire, je ne suis pas encore entre les planches. Et que ces temps qui me sont impartis, comme à chacun, est, quoiqu’il arrive, propice à tant de VIE ! » Merci à toi, ô mon frère. Je te souhaite grande PAIX et pleine JOIE au Ciel. Je t’aime. Lydia